la vue retrouvée

vue d'hiver

Voici l’histoire authentique d’un scientifique, vivant en Suisse. De l’adolescence à l’âge de 60 ans, il a porté des verres correcteurs pour cause de myopie (-2).

A 60 ans, il prend sa retraite. Passionné par ses recherches, il continue d’y travailler, assis à son bureau, devant sa fenêtre. De là, il a vue sur :

  • un champ d’herbe verte,
  • une colline,
  • une autre colline,
  • encore une autre
  • et au loin la montagne (rappelez-vous, nous sommes en Suisse).
    Spontanément, il fait des pauses et regarde d’abord l’étendue d’herbe verte, puis une colline après l’autre, et la montagne au loin.
    Spontanément, il se plonge dans cette routine régulièrement.

Et, sans l’avoir cherché, au bout d’un moment, il découvre qu’il n’a plus besoin de lunettes. Il voit bien de loin et de près et donc n’en porte plus depuis ses 60 ans.
20 ans plus tard, à 80 ans donc, sa vue reste bonne de loin et de près.

Cette histoire a été contée par ce scientifique heureux à Ray Gottlieb (optométriste fonctionnel). Celui-ci la relate dans une discussion avec son collègue Nathan Oxenfield. Vous pouvez l’écouter à la fin de l’article 3 (l’effet de la lumière sur les yeux). En anglais US.

https://www.bettereyesightpodcast.com/home/november1919

Ce scientifique attribue son changement de vue à la couleur verte (« it was the green, it was the grass »).
Pour moi, la couleur verte est celle de l’équilibre (ne se trouve-t’elle pas au milieu de l’arc-en-ciel ?), celle de la libre circulation énergétique. Dans notre beau pays de France, elle est la couleur de la nature. De bonnes incitations à la guérison !
Il est indéniable également que le fait de regarder à différentes distances (du champ à une première colline, puis une autre etc…) joue sur l’acuité visuelle. Notre vue a besoin de mouvements, de changements, de contrastes.

La vue fluctue. Elle peut s’améliorer. Voir la page : clarté visuelle du site.
https://cheminsdeclarte.fr